Bon puisque vous tenez tellement à la suite, la voilà !
/!\ Attention, mode = vive la modestie ! /!\
Puisque vous êtes tellement impatients de voir les suites de ma SUUPPPAAA (humhum... --') histoire, je pense que je posterai un chapitre toutes les semaines;
Sans doute, tous les samedis (ou vendredi ou dimanche ! ^^)
Comme ça, vous aurez 3 choses à attendre impatiemment chaque semaines !
(pour ceux qui lisent les scans !
)
- les scans ;
- l'animé ;
- et ma SUPERBE FanFic !!!
/!\ Fin du mode /!\
Chap.12 : Pensées
Cela faisait plus d'un mois que les Mugis avaient quitté l'île des indigènes et qu'ils naviguaient sur Grand Line, s'arrêtant de temps en temps dans les ports.
Mais aucune histoire qui s'était passée depuis le combat entre Zoro et Franky ne valait la peine d'être raconté.
Le temps était magnifique.
Zoro était – comme à son habitude – dans la vigie, en train de faire son entrainement quotidien.
Il faisait des pompes avec un poids énorme sur le dos (environ 1t ! O.o)
Zoro : 5201, 5202, 5203, je dois m'endurcir ! 5204, 5205,...
Au bout de 5500 pompes d'affilées, il se releva, la charge tombant sur le sol de la pièce.
Une énorme secousse s'en suivit et le bateau « chancela ».
Il entendit de nombreuses personnes sur le pont qui lui criait d'arrêter de porter des poids trop lourds pour le bâteau ou qui l'insultait et jurait sur son maudit entrainement matinal.
Il passa une petite serviette sur son front, ses pectoraux et ses abdominaux en sueur.
Puis, il reprit ses exercices de musculation.
Il s'attaqua au haltères.
Il avait choisi celles en plomb de 500kg.
Ce n'était pas grand chose apparemment puisqu'il avait réussi à les porter avec les pieds dans la position du poirier.
Pendant qu'il faisait tous ses efforts, il pensait à une personne, à la seule et unique personne qui, à part sa défunte amie, comptait pour lui.
En plus de Kuina, c'était maintenant pour elle qu'il redoublait d'efforts afin d'être le meilleur épéiste du monde.
Elle dans ses pensées, les poids ne pesait rien.
Robin.
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Robin, elle, était dans la pièce la plus calme, comme à son habitude.
Elle trouvait la bibliothèque parfaite pour s'adonner à sa passion : la lecture.
Il y avait à cet endroit, des centaines de livres qu'elle avait déjà lu pour la plupart.
Mais elle aimait les relire.
Surtout certains.
Mais bizarrement, ce n'était pas des livres concernant l'Histoire qu'elle prenait plaisir à feuilleter une fois encore.
Non.
C'était d'autres livres ; des livres qui semblaient ne pas l'intéresser avant, mais qui maintenant, lui dessinaient un magnifique sourire.
Des livres sur les katanas.
Les livres de Zoro, de SON Zoro.
Elle avait réussi à lui faire prendre plaisir à la lecture – bien que ce ne soit pas les livres qu'elle aurait aimé qu'il lise.
A chaque fois qu'elle repensait aux soirées qu'ils avaient passé, tous les deux, dans la bibliothèque ou dans la vigie à faire découvrir à l'autre leurs passions, elle se sentait légère et heureuse.
Elle l'aimait tellement.
C'était la première fois qu'elle ressentait ça pour quelqu'un.
Il faut dire que depuis son 8ème anniversaire, elle n'avait pas vraiment eu le temps de penser à aimer quelqu'un, ni même à apprécier son existence.
Mais elle avait trouvé une nouvelle famille, et même plus que cela.
Elle l'avait trouvé, lui.
Et elle retournait à sa lecture.
« Comment prendre soin de son katana ? » ou « Les grands manieurs de sabres » ne pouvaient pas resté une journée dans l'étagère où ils étaient placés sans qu'une certaine brune aux yeux clairs ne les lise.
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Quant au cyborg, lui, on ne l'avait plus vu depuis le combat.
Il restait dans son atelier nuits et jours quoiqu'il arrive – enfin, c'est ce que disait le capitaine.
Il avait d'ailleurs fermé à double-tour la porte de sa pièce d'inventions.
Même Usopp n'avait plus le droit d'y accéder.
Il ne comprenait pas ce qu'il lui avait pris.
Robin aimait Zoro et Zoro aimait Robin.
Même s'il avait vaincu Zoro – ce qu'il savait être peu probable, proche de 0% de chance -, cela n'y aurait rien changé, et Robin l'aurait encore moins apprécié.
Il le savait !
Son humiliante défaite face au second lui hantait les pensées.
Pourquoi ? Mais pourquoi avait-il fait une chose aussi stupide !!!!???
Et maintenant, Franky avait tellement eu honte de s'être interposé dans leur union qu'il n'osait même plus faire face à ses nakamas.
Il se faufilait discrètement hors de sa fabrique pendant la nuit pour manger et vérifier l'état du Sunny, mais cela faisait un petit moment qu'il avait parlé avec un de ses amis.
Il avait parfois entendu Sanji rôder dans la cuisine pour vérifier que personne ne se jette sur le frigo – qui était quand même verrouillé... - et il pensait à chaque fois que le love-cook devait savoir qu'il venait piquer dans le frigo la nuit.
Mais jamais le cuisinier n'avait taper à la porte pour lui faire remarqué.
Il y avait pensé trop tôt.
On cogna à la porte de son atelier : c'était Sanji.