Bon, bah euh, une petite fanfic narrant une des inombrables aventures des Mugiwaras. Elle se situe... après l'île des Hommes-Poissons. Ce sera Chopper, notre bon médecin, qui vous racontera l'aventure. Je ne sais pas quoi dire d'autre, sauf peut être : Bonne lecture !
(C'est un prologue. Les chapitres feront au moins le quadruple, mais j'en met un juste pour se mettre dans le bain petit à petit et pour voir si mon style d'écriture plaisera à au moins une personne. ).
"Grand Line, sur le chemin du Nouveau Monde.
Aujourd'hui, notre bateau traverse un mer houleuse et agitée. J'ai l'impression d'entendre la roche sous-marine crisser contre la coque.
Quand je jette un coup d'oeil dehors, l'épais brouillard qui nous entoure me donne l'impression d'être dans le noir complet. Et, comme si cela n'était pas suffisant, presque toutes mes fioles de remède se sont brisées aux dernières turbulences.
Notre navigatrice à dit que la prochaine île que nous croiserons aura un climat automnal. A part ça et la petite aiguille du Log Pose, le bateau progresse à l'aveuglette. Mais le plus sinistre, c'est l'absence de vent. Un silence abominable règne sur ces eaux noires, mis à part le clapotis rapide des vagues sur la coque. J'ai très peur, mais les autres sont parfaitement tranquilles."
Je regardai une dernière fois le papier gras que m'avait donné Nami. Se confier à quelque chose, qu'elle disait, aussi ouvertement, ça ne peut faire que du bien. La doctorine aussi, je la voyais beaucoup écrire, le soir. Mais justement...
Si Luffy, Zorro et les autres apprenaient que j'écrivais dans un journal, comme les filles ! Aussitôt, je mis la feuille en boule et je la lançai à la poubelle.
Bien que ce vide morbide qui nous entoure m'horrifie, je sortis de mon cabinet pour respirer l'air de l'extérieur. Le calme était revenu auprès des vagues, et le bateau ne penchait plus sur le côté.
J'étais seul sur le pont, mais j'aperçus de la lumière venant de la salle à manger. Des éclats de rires me parvenait depuis la balustrade. Le reste de l'équipage n'avait pas l'air de se soucier des environs. Rien qu'en pensant à cette joyeuse troupe d'ahuris qui m'avait accueilli chez eux, toute ma peur s'envola et j'eus envie de me détendre. Je descendis de mon repaire et entrebâillât la porte.
J'avais hâte de toucher terre. A tort.